imageQui êtes-vous et que faites-vous ?

Marion le MARCHAND; je suis avocat dans le domaine de l’innovation et des nouvelles technologies. En 2013, j’ai créé ma propre structure, afin d’être au plus près des porteurs de projets innovants.

Vous, Votre projet, Vos autres activités intéressantes

Ayant toujours été passionnée par le droit, j’ai suivi un cursus universitaire, dans ce domaine, en me formant plus spécialement au droit de la santé et des nouvelles technologies. Après avoir terminé ma formation théorique, j’ai effectué plusieurs stages et collaboration, afin de parfaire mon expérience professionnelle. Forte de ces années de pratique, j’ai décidé de créer mon propre Cabinet, pour accompagner les créateurs d’entreprises innovantes, dans toutes les étapes déterminantes de leurs projets (de l’idée à la création de la start up, en passant par le suivi juridique, la rédaction des contrats commerciaux et de recherche, la recherche de financement, les opérations de croissance externe, etc). Mon projet est à ce jour de développer un lien de confiance continu avec mes clients, afin que ceux-ci puissent être entourés lors du lancement et tout au long de la vie de leurs projets et ainsi, faire que mon essaimage allège les contraintes et charges des startupers. Pour ce faire, j’ai pour ambition de mettre au profit des entrepreneurs un lieu où seront regroupés des conseils juridiques fiables, efficaces et à l’écoute, de manière à ce que ceux-ci puissent disposer d’un pôle de compétences, sans augmenter leur stress quotidien. Wait & See donc en 2014… ! A côté de mon exercice d’avocat, je suis également membre de divers clubs d’affaires d’école de commerce, dont un club de Business Angels (BA), afin de repérer encore plus facilement les possibles sources de financement pour mes clients. Je donne également des cours dans divers établissements et universités et écris pour la revue en ligne Maddyness, consacrée aux startups françaises. Pour maintenir mon équilibre, une dose de yoga, du tennis, du bateau et de l’avion !

Comment êtes-vous devenu(e) entrepreneur ?

Très tôt, puisqu’en qualité d’avocat, le statut le plus courant est celui de collaborateur libéral. Nous sommes donc dès notre sortie de l’Ecole des Avocats amenés à être confrontés au dur métier d’entrepreneur. Toutefois, cette notion a pris tout son sens, lors de la création de mon propre Cabinet, l’année passée ! En effet, au-delà de mes missions juridiques et de conseil, j’ai dû faire face à l’ensemble de la charge administrative, sociale et fiscale d’une structure nouvellement créée. J’espère alors qu’elle sera innovante !

Quel a été l’élément déclencheur ?

J’ai toujours eu la fibre libérale mais je crois qu’un beau matin d’hiver 2012, au vu de la ligne d’horizon blanchie par la neige, j’ai eu l’appel d’une liberté plus profonde, comme une envie folle de pouvoir proposer à mes clients un service qui me correspond entièrement. Depuis ce matin là, je n’ai eu de cesse que de songer à ce projet, jusqu’à le réaliser l’an passé.

Quelle est votre ambition d’entrepreneur ?

Pour faire honneur au serment que tout avocat prête avant d’exercer – Je jure, comme avocat, d’exercer mes fonctions avec dignité, conscience, indépendance, probité et humanité – j’ai pour ambition d’être au service des porteurs de projets innovants, dans toute l’humanité que cela implique. Egalement, je souhaite pouvoir accompagner mes clients dans la rigueur que demande le lancement ou la vie d’un projet innovant et ainsi, d’apporter ma petite pierre à leur édifice. Je souhaite enfin que le quotidien des innovateurs soit facilité en proposant la création d’un pôle de compétences juridiques, leur permettant ainsi d’obtenir rapidement une réponse fiable dans les domaines du droit les intéressant. Un projet en ce sens est prévu pour 2014!

Racontez nous une anecdote d’entrepreneur

Lors d’une soirée professionnelle, je m’étais proposée pour mettre en place le buffet qui suivait la réunion, constitué essentiellement de bouteilles de vin ! Croyant qu’un des participants était le nouveau stagiaire de l’école, je lui ai demandé s’il pouvait m’aider à installer lesdites bouteilles. Nous avons passé une grosse ½ h pour installer le tout, en s’amusant sur l’aspect très alcoolisé de la soirée à venir. Le lendemain, j’ai reçu un appel d’un prospect qui souhaitait prendre rdv à mon Cabinet. Quelle ne fut pas ma surprise en voyant mon “"stagiaire”“ de la veille, qui m’avait bien caché être un entrepreneur en phase de création ! Epilogue : nous travaillons ensemble depuis lors et je n’ai pas manqué de lui acheter, pour la nouvelle année, une bonne bouteille de vin !

Qu’est-ce que vos clients pensent de vous ?

Il faudrait le leur demander ! Je crois toutefois que ceux-ci diraient que je suis rigoureuse, précise, droite, quelques fois exigeante en négo (mais il le faut!), en n’oubliant jamais que, quelque soit l’instant, l’empathie et la compréhension des besoins et attentes doit demeurer la priorité en vue d’un partenariat serein et durable. Mon crédo est d’être réactive, disponible et à l’écoute de mes clients.

Que faites vous le mieux ?

Mark-uper les projets de contrat de valorisation (propriété intellectuelle/industrielle), actif déterminant chez les startups ! Plus largement, être là quand on a besoin de moi.

Quelle tâche vous agace le plus dans votre quotidien d’entrepreneur ?

Payer mes charges sociales, mes impôts, mes cotisations ordinales, etc. !

Quel est le meilleur conseil d’entrepreneur qu’on vous ait donné ?

D’être entouré. Quelque soit le conseil (incubateur, expert-comptable, avocat, financier, partenaire, etc.), il est primordial à mon sens de ne pas être seul dans le lancement ou la vie d’un projet. Le principal ensuite est de trouver l’intervenant en qui vous avez confiance et avec qui vous êtes en phase, afin d’avancer sereinement dans le projet.

Vous joindre au numéro…

0469647398

Vous joindre par mail à l’adresse…

marion.lemarchand@avocat-conseil.fr

Vous joindre sur LinkedIn à l’adresse…

Marion le MARCHAND

A vous le mot de la fin !

A tous les entrepreneurs en germe, je citerai John Lennon : "Quand j’étais petit, ma mère m’a dit que le bonheur était la clé de la vie. A l’école, quand on m’a demandé d’écrire ce que je voulais être plus tard, j’ai répondu ”“heureux”“. Ils m’ont dit que je n’avais pas compris la question, je leur ai répondu qu’ils n’avaient pas compris la vie”.